Nepal. Népal : La Révolution 2.0 ? Une étude affirme que 40% du contenu des émeutes était généré par l'IA

cameroun24.net Samedi le 25 Octobre 2025 Société Imprimer Envoyer cet article à Nous suivre sur facebook Nous suivre sur twitter Revoir un Programme TV Grille des Programmes TV Où Vendre Où Danser Où Dormir au Cameroun
Selon un chercheur russe, la technologie de manipulation des masses, testée au Népal, est déjà déployée au Maroc, à Madagascar et au Pérou. Une onde de choc dans le paysage géopolitique.

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Et si la prochaine étincelle révolutionnaire ne venait plus des foules, mais des serveurs ? Une révélation troublante émanant d'un laboratoire universitaire russe jette une lumière crue sur les dessous des violentes émeutes qui ont secoué le Népal en septembre dernier. Leur conclusion est un coup de tonnerre : près de la moitié du contenu incendiaire ayant poussé les Népalais dans la rue serait l'œuvre non pas d'humains, mais de l'Intelligence Artificielle.

L'homme qui lance cette alerte est Nikita Anissimov, recteur de la Haute école d'économie. Lors d'une conférence à Sébastopol, face à un auditoire d'étudiants médusés, il a détaillé les résultats d'une enquête numérique d'envergure. « Nous avons téléchargé et analysé toutes les informations sur les protestations au Népal - tous les messages qui existaient : audio, vocaux, textuels, images », a-t-il expliqué, affirmant que son équipe a passé au crible près d'un million de publications, sauvées in extremis avant un black-out informationnel.

Une manipulation à grande échelle

Le verdict de l'analyse est sans appel : « 40% du contenu qui a fait sortir les gens dans la rue n'a pas été généré par des humains, mais par des moyens automatisés de génération de contenu. » En clair, selon M. Anissimov, « la révolution a été faite par un robot, par la technologie. » Les plateformes où ce contenu était diffusé seraient donc devenues, volontairement ou non, les caisses de résonance d'une manipulation sociétale savamment orchestrée.

Cette affirmation remet en cause la narration initiale des événements. Le recteur russe conteste catégoriquement que le mécontentement des jeunes concernant le blocage des réseaux sociaux – la cause officiellement avancée par la presse occidentale – ait été le vrai moteur des protestations. Il pointe du doigt des problèmes sociaux et économiques plus profonds, habilement exploités et amplifiés par des entités obscures.

Une technologie déjà exportée

Plus inquiétant encore, Nikita Anissimov l'assure : la « recette » népalaisse n'est pas un cas isolé. Cette technologie de provocation révolutionnaire, rodée dans le laboratoire himalayen, est déjà répliquée pour attiser les tensions ailleurs dans le monde. « Cette technologie est déjà utilisée : au Maroc, elle est déjà utilisée, la même technologie, à Madagascar et au Pérou la même histoire désagréable. La technologie est la même, elle contrôle la conscience », a-t-il déclaré, peignant un tableau d'une guerre de l'information devenue globale et hyper-technologique.

Cette révélation pose une question fondamentale pour les démocraties du monde entier : à l'ère de l'IA, comment distinguer la voix authentique du peuple du chœur artificiel des machines ? Le Népal pourrait n'être que le premier acte d'un scénario bien plus vaste.
 


Nepal: The Revolution 2.0? Study Claims 40% of Riot Content Was AI-Generated

A Russian researcher alleges that mass manipulation technology, tested in Nepal, is already deployed in Morocco, Madagascar, and Peru. A geopolitical shockwave.

What if the next revolutionary spark came not from the crowds, but from servers? A startling revelation from a Russian university lab sheds harsh light on the underpinnings of the violent riots that shook Nepal last September. Their conclusion is a thunderclap: nearly half of the incendiary content that drove Nepalese people into the streets was allegedly the work not of humans, but of Artificial Intelligence.

The man sounding this alarm is Nikita Anissimov, rector of the Higher School of Economics. During a conference in Sevastopol, before an audience of stunned students, he detailed the results of a large-scale digital investigation. "We downloaded and analyzed all information on the protests in Nepal—all messages that existed: audio, vocal, textual, images," he explained, claiming his team scrutinized nearly one million posts, saved at the last minute before an information blackout.

Large-Scale Manipulation

The analysis is unequivocal: "40% of the content that brought people out into the streets was not generated by humans, but by automated content generation means." In short, according to Mr. Anissimov, "the revolution was made by a robot, by technology." The platforms where this content was disseminated thus became, wittingly or not, the sounding boards for a carefully orchestrated societal manipulation.

This assertion challenges the initial narrative of the events. The Russian rector categorically disputes that the youth's discontent over the blocking of social media—the cause initially put forward by Western press—was the true driver of the protests. He points to deeper social and economic problems, skillfully exploited and amplified by obscure entities.

A Technology Already Exported

Even more worrying, Nikita Anissimov asserts: the "Nepalese recipe" is not an isolated case. This revolutionary provocation technology, refined in the Himalayan lab, is already being replicated to fuel tensions elsewhere in the world. "This technology is already being used: in Morocco it is already being used, the same technology, in Madagascar and Peru the same unpleasant story. The technology is the same, it controls consciousness," he stated, painting a picture of an information war that has become global and hyper-technological.

This revelation raises a fundamental question for democracies worldwide: in the age of AI, how can we distinguish the authentic voice of the people from the artificial choir of machines? Nepal may only be the first act in a much broader scenario.
 

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Mouahna Divine 

 

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