Législatives 2013. Le Conseil électoral délibère

Cameroon-Tribune Mercredi le 31 Juillet 2013 Société Imprimer Envoyer cet article à Nous suivre sur facebook Nous suivre sur twitter Revoir un Programme TV Grille des Programmes TV Où Vendre Où Danser Où Dormir au Cameroun
Une session de plein droit a été ouverte hier au palais polyvalent des Sports de Yaoundé. Dans tous les coins de la vaste salle des travaux où sont réunis les membres du Conseil électoral d’Elections Cameroon au palais polyvalent des Sports de Yaoundé pour cette session de plein droit qui doit s’achever ce jour, des piles de documents sont entassées.

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 Les dossiers de candidatures introduits par les différents partis politiques qui postulent au double scrutin du 30 septembre 2013 ont été examinés au sein des quatre sous-commissions mises sur pied par le Conseil électoral. Comme le révèlera le président du Conseil électoral, Fonkam Samuel Azu’u, quelques temps après l’ouverture des travaux, il est question de délibérer sur les conclusions des travaux des sous-commissions. Penchés sur l’examen des différentes listes de candidatures depuis le 19 juillet 2013, le Conseil électoral entend respecter les délais prévus par la loi « Nous avons jusqu’à jeudi (après-demain NDLR) à minuit et nous comptons pouvoir tenir ces délais », rassure-t-il.

S’il reconnaît que la tâche des membres du Conseil électoral n’a pas été facile « en raison des milliers de dossiers à examiner », le président du Conseil indique néanmoins que la méthode de travail mise en place a permis de produire des résultats. Il se félicite par ailleurs de ce que les partis politiques ont tiré des leçons de leurs erreurs lors des élections sénatoriales. Sur les délais de réception des dossiers à la direction générale des Elections et dans les démembrements, Fonkam Samuel Azu’u est formel : « La date limite de dépôt des dossiers de candidature c’était le 17 juillet 2013 à minuit. Le reste est un débat qui ne nous concerne pas. La loi ne prévoit pas 16 jours pour le dépôt des dossiers de candidatures. Nous sommes aussi tenus de respecter les quinze jours qui nous sont impartis pour rendre publiques les listes retenues. » Un appel a été lancé aux formations politiques pour la mobilisation de leurs militants afin de les amener à procéder au retrait des cartes d’électeurs. Les travaux vont déboucher sur une résolution du Conseil électoral qui rendra publics les acceptations et les rejets des listes de candidatures.
 

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