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Le porte parole de l'armée a démenti cette information qui faisait la Une de certains journaux chez nos confrères de ABK Radio.
Le Colonel Cyrille ATONFACK GUEMO a tenu a clarifier le contenu du communiqué du ministre délégué en charge de la défense :
" La loi camerounaise punit la propagation de fausses nouvelles. La plainte du Ministère de la Défense contre un certain nombre de personnes est simplement une plainte imaginaire. Le ministre a dit "qu'il se réserve le droit de poursuivre", pas qu'il va le faire, ou qu'une plainte a été déposée.", déclare -t-il.
22 villageois dont 14 enfants et femmes enceintes avaient été tués dans le village de Ngarbuh dans le Nord-Ouest du Cameroun avait alerté l'ONU.
Un massacre attribué à l'armée par certains Ongs, Hommes politique et de la société civile.
Une accusation rejetée par l'armée qui parle de 5 morts dont 1 femme et 4 enfants victime de dégâts colatéraux.
Une version que conteste l'évêque de Kumbo qui parle de 34 morts en majorité des femmes et des enfants dans son communiqué.
L'ONU, la France, Les Etats-Unis ont appelé à une enquête impartiale et transparente; pendant que des évêques de l'église catholique appellent à un dialogue entre les belligérants à travers la médiation suisse.
Ange Ngo
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