Sociéte | Sport | Culture | Opinion | Radio-TV
Le conseil d’administration du Comité national paralympique s’est tenu récemment à Yaoundé.
Les athlètes camerounais manquent encore de visibilité aux Jeux paralympiques. A Londres en 2012, le Cameroun était représenté pour la première fois par Conrat Atangana en dynamophilie (haltérophilie pour les handicapés). Plus récemment en 2016 à Rio, Christian Gobé a défendu les couleurs du pays au lancer de poids. Afin de présenter davantage d’athlètes en 2020 au Japon et de réaliser de meilleures performances, c’est maintenant que la préparation doit commencer. Voilà pourquoi les quatre fédérations membres du Comité national paralympique camerounais (CNPC) ont pris part à la session du conseil d’administration tenue récemment. Il s’agit des Fédérations camerounaises de sports pour déficients physiques, visuels, intellectuels et pour sourds.
Ici, les responsables évoquent entre autres, le manque de financement pour permettre aux athlètes de participer à des compétitions d’envergure. Pour la première fois, par exemple, en tennis sur fauteuil roulant, des athlètes camerounais se sont classés quatrièmes au dernier « BNP Paribas World Cup Africa Qualification ». Une participation financée par la Fédération camerounaise de sports pour déficients physiques, selon Hervé Ngoyo, le président. Aussi, le conseil d’administration a-t-il permis d’examiner le plan stratégique, la stratégie marketing, etc. du CNPC. Pour son président, Jean Jacques Ndoudoumou, l’objectif final est d’arriver à une meilleure participation du Cameroun aux Jeux paralympiques 2020 et pourquoi pas, décrocher une médaille à Tokyo.
Sociéte | Sport | Culture | Opinion | Radio-TV
Copyright © 2020 Cameroun24