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Alors que la planète politique américaine retient son souffle, Donald Trump s'apprête à prendre la parole ce mercredi à 16h30 (heure locale) depuis le prestigieux Bureau ovale.
Le contenu de ce discours reste officiellement confidentiel, mais plusieurs médias évoquent de nouvelles mesures douanières, notamment à l’encontre de l’Inde, principal importateur de pétrole russe.
Sur son réseau Truth Social, Trump a récemment menacé de frapper fort contre New Delhi avec des droits de douane massifs, dénonçant des barrières commerciales indiennes jugées "hostiles" et un partenariat énergétique trop étroit avec la Russie. Une stratégie économique musclée, dans un contexte géopolitique mondial toujours plus tendu.
Mais l’agenda de Trump ne se limite pas aux tarifs douaniers. Alors que la Constitution américaine interdit un troisième mandat présidentiel, le milliardaire annonce qu’il ne briguera probablement pas un retour en 2028. Pourtant, il positionne déjà son successeur : le vice-président JD Vance, favori pour porter les couleurs républicaines à la prochaine présidentielle. Marco Rubio, actuel secrétaire d’État, pourrait jouer les coéquipiers.
Les révélations du New York Post jettent une ombre sur la stabilité financière de l’ancien magnat de l’immobilier. JPMorgan et Bank of America auraient fermé ses comptes suite à l’assaut du Capitole en janvier 2021, invoquant des risques réputationnels imposés par les régulateurs.
Pendant ce temps, la conquête de l’espace revient dans le discours trumpien : les États-Unis veulent installer un réacteur nucléaire sur la Lune d’ici 2030. Objectif ? Gagner la "course contre la Chine", selon Sean Duffy, administrateur par intérim de la Nasa. La technologie serait vitale pour maintenir une base lunaire avant toute mission vers Mars.
Trump continue de bousculer la diplomatie africaine. Le Soudan du Sud serait prêt à accepter davantage de migrants clandestins expulsés des États-Unis, en échange de la levée de sanctions et du rétablissement de ses transactions en dollars via la Réserve fédérale.
Plus largement, les pressions américaines s’intensifient sur plusieurs pays africains (Gabon, Sénégal, Mauritanie, Liberia…) pour accueillir des migrants rejetés par Washington. Le Nigeria, débordé, a déjà décliné.
Enfin, le trafic d’armes illégales en provenance des États-Unis continue d’alimenter le chaos en Haïti, où l'État semble au bord de l’effondrement. Le ministre haïtien des Finances, Alfred Métellus, lance un cri d’alarme : les gangs lourdement armés menacent de prendre totalement le contrôle de Port-au-Prince, avec des armes provenant majoritairement de Floride.
As Donald Trump prepares for an Oval Office address, speculation grows around new trade tariffs targeting India. The former president has also signaled he’s unlikely to run for a third term, naming VP JD Vance as his probable successor. Meanwhile, Trump faces financial restrictions from major banks over January 6th. In parallel, the U.S. space program eyes a nuclear reactor on the Moon to stay ahead of China.
Africa, too, is in focus, as the U.S. presses several nations to accept deported migrants, and Haiti struggles under the weight of U.S.-sourced weapons fueling gang violence.
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Ekanga Ekanga Fernand
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