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Culture. Fingon Tralala casse le silence : «Muta Penda, c’est mon pikin, pas mon poison !»

cameroun24.net Mercredi le 16 Avril 2025 Humour Imprimer Envoyer cet article à Nous suivre sur facebook Nous suivre sur twitter Revoir un Programme TV Grille des Programmes TV Où Vendre Où Danser Où Dormir au Cameroun
Sur le plateau de Sun Plus TV, le célèbre humoriste camerounais Fingon Tralala, patron du label FT Prod, a enfin sorti sa bouche. Et pas pour faire une blague ! Cette fois, c’est du sérieux… ou presque.

? Au centre de la polémique : Muta Penda, l’un de ses poulains, qui a traversé récemment une période de maladie compliquée. Sur les réseaux sociaux, des internautes investigateurs sans badge ont accusé Fingon d’être à l’origine du mal, certains allant jusqu’à l’accuser de sorcellerie et d’exploitation digne des anciennes plantations de coton.

Mais sur le plateau de la chaîne, Fingon a réglé son micro et vidé son sac :

    "Muta Penda, c'est mon fils. Je l’ai porté sur mon épaule pendant près de 17 ans. Même s’il m’a heurté, j’ai mis la colère de côté."

? Oui oui, il parle bien de ce même "fils" qui, selon ses propres dires, s’est laissé entourer pendant sa maladie par des experts en buzz tragique, version 237 :

    "On lui a fait croire qu’un buzz horrible + une cagnotte = 10 millions. Au final, même 10 francs n’ont atterri dans sa poche."

Eh eh… Le triangle arnaque–réseaux sociaux–buzznass a encore frappé !

Mais Fingon, tel un père africain devant sa marmite de Kondrè chèvre, reste stoïque :

    "Le plus important, c’est qu’il aille mieux. Moi, je reste là pour lui."

? Cut ! Mais pas si vite. Car au cœur de cette affaire, une autre casserole chauffe : les accusations d’exploitation des comédiens de FT Prod. Selon certains, Fingon roule en carrosse pendant que ses collègues marchent à pied, faim au ventre et sketch à la bouche.

Mais dans cette prise de parole, l’homme au rire contagieux n’a pas directement répondu à cette accusation. Peut-être un autre épisode à venir sur… "Fingon et les drôles de commérages" ?

?? En attendant, le public est partagé entre compassion, suspicions, et grosse fatigue du "buzz pour buzz". Mais une chose est sûre : quand Fingon parle, tout le Cameroun tend l’oreille… et le sourire revient, un peu.

Viviane GEMELE

 

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