Cameroun - Communication. Le CNC sanctionne plusieurs journalistes et organes de presse au Cameroun
Les sanctions vont de d'un mois de suspension à plus pour certains journalistes et directeurs de publications. D'autres ont simplement écopés d'avertissement a appris cameroun24.
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La sanction la plus commenté est celle du journaliste Sismondi Barlev Bidjocka et sa Radio RIS dans l'affaire qui l'opposait au Secrétaire Général de la Présidence de la République, Ferdinand Ngoh Ngoh. Le journaliste écope de trois de suspension.
L'on se rappelle que son invité lors de l’émission querellée, le professeur Messanga Nyamding, avait été relevé de ses fonctions de chef de département de la prestigieuse école de relations internationales IRIC, pour être envoyé en complément d'effectif dans une université au Nord du pays.
Ces derniers n'ont pas pu prouver devant le CNC, les accusations de détournement des fonds de la CAN 2019 au Cameroun par le président de TASK Force qui gère les chantiers de la CAN, logé à la présidence de la République.
Ces mêmes accusations sont reprises en cœur par les partis d'opposition. Aucun audit n'a été fait et la justice n'a jamais été saisi d'un camp comme dans l'autre.
Guy F. FOSSO
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