Faits divers. Akwa : Les forces de l’ordre débloquent l’axe Salle des fêtes – Bonakouamouang après une violente protestation des motos-taxis

La tension était palpable ce matin dans le quartier d’Akwa, où des motos-taxis en colère ont bloqué l’un des axes les plus fréquentés de Douala. La raison ? Leur rejet catégorique de l’obligation du port de chasubles imposée par la Communauté urbaine, a constaté cameroun24.
Les forces de l’ordre, composées de policiers et de gendarmes en renfort, ont dû intervenir pour rétablir la circulation après que la situation ait viré à l’affrontement. Des motos ont été confisquées lors d’une opération musclée, déclenchant une vive protestation des conducteurs. Barricades, cris hostiles et menaces… L’atmosphère était électrique.
Grâce à une intervention rapide et dissuasive, les autorités ont finalement pris le contrôle. Les motos interceptées ont été conduites à la fourrière, tandis que l’ordre était progressivement rétabli.
Une mesure de sécurité qui passe mal
La Communauté urbaine de Douala justifie le port obligatoire de chasubles par des raisons de sécurité et de traçabilité. Mais pour les motos-taxis, cette décision est perçue comme une nouvelle contrainte financière dans un contexte économique déjà difficile.
Affaire à suivre…
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? Akwa: Security Forces Restore Traffic After Violent Protest by Bike Taxis
Tensions ran high this morning in Akwa, where angry bike taxi drivers blocked one of Douala’s busiest roads. The reason? Their outright rejection of the mandatory high-visibility vests imposed by the Douala City Council.
Reinforced police and gendarmerie units intervened to restore traffic after the situation escalated into a near-clash. Several motorcycles were confiscated during a crackdown, sparking fierce protests from drivers. Barricades, hostile shouts, and threats filled the air as tempers flared.
Thanks to a swift and forceful response, authorities regained control. The seized bikes were impounded, and order was gradually restored.
A Safety Measure Met With Resistance
The Douala City Council defends the mandatory vests as a safety and traceability measure. However, bike taxi drivers see it as yet another financial burden in an already tough economic climate.
Stay tuned for updates…
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Christ Ndiffong (Stagiaire)
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