Cameroun - Réligion. SUD,Eglise adventiste : Après la rentrée scolaire le tour à la rentrée spirituelle à Ebolowa

cameroun24.net Dimanche le 08 Septembre 2019 Opinion Imprimer Envoyer cet article à Nous suivre sur facebook Nous suivre sur twitter Revoir un Programme TV Grille des Programmes TV Où Vendre Où Danser Où Dormir au Cameroun
Elle s’est tenue en la paroisse de la communauté d’Ebolowa Si 2 le 07 septembre dernier dans le cadre d’un culte solennel sous la conduite du président des églises adventistes du 7 ème jour au Cameroun qu’assistaient les responsables de l’éducation de base de la région du Sud, les élèves et parents et les autres chrétiens du sabbat.

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Une semaine après la rentrée scolaire, il était de bon ton  pour cette communauté chrétienne de faire recours au seigneur afin qu’il prenne le total contrôle de cette année scolaire. Une manière de solliciter le concours divin en vue d’un meilleur déroulement de  l’année scolaire. Car, si dieu ne bâtit ceux qui travaillent, le font en vain il est donc question de travailler avec ce Dieu. Il faut noter que cette communauté religieuse se démarque positivement dans le volet éducatif à travers leurs écoles adventistes dans tout le pays. Un meilleur partenaire de l’état dans l’éducation des camerounais avec des structures de formation du primaire, du secondaire comme du supérieur. Le culte solennel de rentrée spirituelle organisé à Ebolowa dans le groupe scolaire bilingue privé adventiste les sentinelles  d’Ebolowa Si 2 a été l’occasion pour le pasteur Assembe Minyono Valère Guillaume, président des églises adventistes du Cameroun de prier l’éternel pour la paix au Cameroun. Pour lui, « nous avons souhaité avoir des écoles propres où le vivre-ensemble est une réalité. Et avec l’éducation c’est une réalité, on a cette mixité et on est ensemble dans la paix. Cependant, on ne saurait éviter quelques défis qui sont liés à cette paix. Ainsi, dans la vision de l’église adventiste, nous pensons à quatre piliers qui nous orientent vers une solution directe et définitive. En cas de défis pour la paix, il y’a le dialogue, la justice, le pardon et la réconciliation. C’est le souhait de l’église pour un retour à une paix durable, dans les familles où à travers le triangle national ». Ces piliers peuvent alors être utilisés dans ces régions où la paix est mise en mal. Et si cela est fait humblement avec efficacité, un retour de la paix est inévitable. Et  Ebolowa pourra être considéré comme le creuset de cette paix sans laquelle, pas d’école, pas de développement. Pour joindre la parole à l’acte, un groupe scolaire bilingue adventiste a été mis au service des populations d’Ebolowa. Il s’agit du cycle maternel et primaire fruit de la volonté des chrétiens qui veulent bien contribuer à l’éducation des enfants camerounais. Pour Serge Doungue principal financier de cette œuvre, « c’est un devoir accompli aux yeux de l’éternel. Ceci est fait dans le désir de faire grandir l’être humain dans sa globalité, c’est un plaisir noble. Il s’agit là d’un défi de l’éducation des camerounais qui est important puisque l’église accompagne l’action des pouvoirs publics dans ce volet ». Par la même occasion, les différents responsables et encadreurs de l’école d’Ebolowa ont été présentés à l’assistance, tout en les rappelant leurs cahiers de charge par le secrétaire à l’éducation de cette obédience religieuse. Il s’agit d’assurer la continuité de cette œuvre de l’éducation. Il est question de s’investir à cette tache pour que les enfants évoluent dans un environnement qui les permettra à contribue dans le développe du Cameroun que rêvent les camerounais. Les enfants doivent alors mener une vie d’obéissance à la maison, à l’école, et devant tous les autres aînés qui peuvent les conduire dans la voie de la responsabilité. Ainsi, en obéissant aux parents au-delà de toute chose obéissent à leur Dieu par Jésus-Christ. Parce que les écoles confessionnelles et les écoles adventistes en particulier recherchent  le succès  des enfants à travers l’obéissance à Dieu et à sa parole. Au terme, des prières ont été élèves pour que l’année scolaire engagée s’achève sans heurt
 

Jacques Pierre SEH
 

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