Cameroun - Tourisme. «Millionnaires» de…quelques semaines !
Bien sûr, qu’elles font rêver ! Bien des Camerounaises et des Camerounais, aimeraient y passer leurs fins de semaine.
ADS
Des fins de semaine en technicolor, en rose et or, batifolant sur des plages de sable fin. Des plages de sable fin s’étendant, s’étalant, à perte de vue. Sous un ciel bleu azur, avec l’astre des jours plus rayonnant et plus triomphant que jamais. Donc, batifoler, gambader comme des cabris en goguette, en sirotant, en dégustant force cocktails et grogs, bien tassés. En compagnie de plantureuses personnes, comme sorties de magazines de mode et de vogue sur hyper-papier glacé. Vous avez dit décor de carte postale ? Comme à Tahiti, Montego Bay, comme dans les Caraïbes, pour aller vite.
Ici, ce ne sont pas les belles plages qui manquent. A ce sujet, autant d’ailleurs le coucher, noir sur blanc : Campo, aura été plutôt gâtée, par Dame Nature. Son formidable potentiel touristique, son potentiel pluriel tout court, bien entendu suscite envies, convoitises. Avec le chef-lieu du département de l’Océan rentrant en force, pleinement de…plain-pied dans le 21ème siècle grâce au foisonnement de dynamisants projets structurants, Kribi a besoin de «respirer». Ça se conjugue, ça se conjuguera avec une pression démographique allant toujours crescendo. Poussée démographique, donc, fatalement, pression foncière. Comme Mbankomo, comme Mfou notamment «bousculées» par Yaoundé, au possible ! Avec tous ces «cousins», à cœur joie, s’embarquant dans des transactions foncières, brinquebalantes. Brinquebalantes, abracadabrantes, pour ne pas dire…«abracadabrantesques» (la perle porte la griffe d’un certain…Jacques Chirac). Devenant, comme par enchantement, des «millionnaires» de quelques semaines ou de quelques mois. Avant d’intégrer…une case-galère sans nom, et parfois sans fin !
«Cousins» de Campo et de ses environs, vous voilà prévenus…
ADS
ADS
ADS
ADS