Cameroun. Yaoundé : Cinq braqueurs abattus par la police

Le Jour Mardi le 09 Novembre 2010 Société Imprimer Envoyer cet article à Nous suivre sur facebook Nous suivre sur twitter Revoir un Programme TV Grille des Programmes TV Où Vendre Où Danser Où Dormir au Cameroun
Ils ont été surpris en train de voler au quartier Nkolmesseng.

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C’est au petit matin de lundi que cinq bandits armés de machettes, de couteaux, de gourdins et d’un pistolet de fabrication artisanale ont été abattus par les Equipes spéciales d’intervention rapide (Esir) au quartier Nkolmesseng.

Selon les témoignages recueillis sur les lieux du forfait, Les bandits ont  cambriolé six domiciles dans lesquels ils ont emporté des téléphones portables,  téléviseurs et de l’argent.
Sur le lieu du crime,  des porte-monnaie, des bouteilles de bière  aux cotés des bandits dont les corps gisaient dans du sang.

Selon une des victimes, c’est vers 2h du matin que cinq hommes armés de quatre couteaux, de machettes, d’une pince monseigneur et d’un pistolet de fabrication artisanale ont fait irruption dans son domicile. Ils  se sont introduits dans sa chambre, ont demandé à son épouse et à lui même de se coucher sur le sol. Ils ont effectué une fouille systématique,  ramassant tout sur leur passage.
Six maisons du coin vont subir le même sort. Seulement, pendant que  les hors- la -loi  étaient en train d’opérer dans la sixième maison, le propriétaire du premier domicile cambriolé va composer le 117 avec un de ses téléphones qu’il a réussi à cacher. Les Esir ne vont pas tarder à arriver. Ils surprendront l’un des bandits demandant  à ses compagnons de prendre aussi la bouteille de champagne qui était dans l’armoire.

Les policiers des Esir se dirigent au salon et  coincent les bandits en pleine opération. Un  malfrat prend la machette pour riposter. La police  réplique par des coups de feu qui l’atteignent à la poitrine, il s’écroule et décède immédiatement. Les quatre autres assaillants vont subir le même traitement.
L’un des cinq bandits, reconnu par la population en furie, va échapper à la mort sur place grâce aux hommes du commissaire divisionnaire Jean- Marie Mvogo, le commandant des Esir. Mais, il va succomber de ses blessures plus tard, pendant son évacuation aux urgences de l’hôpital central.
Après une escale au commissariat du deuxième arrondissement, les corps ont été conduits à la morgue de l’hôpital central de Yaoundé. Et une enquête a été ouverte à la Direction
de police judiciaire.

Prince Nguimbous (stagiaire)
 

Trois bandits identifiés


Ngono Ngoh Yves né le 22 février 1991 à Buéa
Wome Jean Justin né le 9 octobre 1988  
Djomo Dimitri né le 23 avril 1992 à Yaoundé

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