Syrie. Syrie: la Ligue arabe se réjouit de l'accord russo-américain

Ria Novosti Dimanche le 15 Septembre 2013 Société Imprimer Envoyer cet article à Nous suivre sur facebook Nous suivre sur twitter Revoir un Programme TV Grille des Programmes TV Où Vendre Où Danser Où Dormir au Cameroun
Le secrétaire général de la Ligue arabe Nabil al-Arabi a salué dimanche l'accord sur le désarmement chimique syrien parachevé le 14 septembre à Genève par les chefs de la diplomatie russe et américaine Sergueï Lavrov et John Kerry, rapportent les médias arabes.

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"L'accord en question ouvre la voie à un règlement politique et crée de meilleures conditions pour la tenue de la conférence de Genève-II", a indiqué M.Arabi.

Samedi, les chefs de la diplomatie russe et américaine Sergueï Lavrov et John Kerry sont parvenus à une entente sur le dossier syrien. Les parties ont notamment prôné le règlement politique du conflit syrien et la non-intervention armée dans ce pays proche-oriental et ont convenu sur la destruction complète des stocks d'armes chimiques de Damas d'ici le milieu de l'année 2014.      

Toujours samedi, le secrétaire général de l'Onu Ban Ki-moon a reçu des engagements des autorités syriennes d'adhérer à la Convention internationale sur l'interdiction des armes chimiques.


Syrie/accord russo-américain: une première étape, selon Fabius (médias)

L'accord sur les armes chimiques parachevé par Moscou et Washington samedi à Genève  n'est qu'une "première étape", a annoncé dimanche lors d'une conférence de presse à Pékin le ministre français des Affaires étrangères cité par la presse occidentale. 

"C'est une avancée importante, mais c'est une première étape, car ce qui apparaissait impossible quelques jours auparavant apparaît désormais possible", a déclaré Laurent Fabius aux journalistes à l'issue d'une rencontre avec son homologue chinois Wang Yi. 

Selon M.Fabius, l'accord russo-américain pose toutefois une série de questions, notamment sur les moyens de contrôler les arsenaux chimiques syriens.

Laurent Fabius avait antérieurement salué l'accord russo-américain le qualifiant de "grand pas en avant". Le ministre a cependant souligné que la France n'éclaircirait sa position qu'après la publication par les experts de l'Onu d'un rapport sur l'utilisation d'armes chimiques en Syrie.

Samedi, les chefs de la diplomatie russe et américaine Sergueï Lavrov et John Kerry sont parvenus à une entente sur le dossier syrien. Les parties ont notamment prôné le règlement politique du conflit syrien et la non-intervention armée dans ce pays proche-oriental et ont convenu sur la destruction complète des stocks d'armes chimiques de Damas d'ici le milieu de l'année 2014.    

La déclaration adoptée par les deux parties servira de base pour une résolution du Conseil de sécurité de l'Onu prise sous chapitre VII de la Charte des Nations unies, qui prévoit la possibilité d'un recours à la force en cas de non-respect des exigences. 

Le jour même, l'Onu a reçu des engagements des autorités syriennes d'adhérer à la Convention internationale sur l'interdiction des armes chimiques.
 


Armes chimiques: Damas salue l'entente Lavrov-Kerry

Damas salue l'entente sur les armes chimique atteinte samedi 14 septembre par les chefs de la diplomatie russe et américaine Sergueï Lavrov et John Kerry  et considère que ces derniers ont prévenu l'éclatement d'une guerre dans la région, a annoncé à RIA Novosti le ministre syrien de la Réconciliation nationale, Ali Haydar. 

"Nous saluons ces ententes. D'un côté, elles aideront les Syriens à sortir de la crise et de l'autre, elles ont prévenu une guerre contre la Syrie, privant de prétexte les parties qui voulaient l'engager", a indiqué M.Haydar, leader du Parti national social syrien.

Selon ce dernier, les accords auxquels sont parvenus MM. Lavrov et Kerry "garantissent un soutien international à ce que tous les représentants du peuple syrien se mettent à la table de négociation afin de résoudre les problèmes internes". 

"Ces ententes sont une réussite de la diplomatie et des autorités russes, c'est une victoire pour la Syrie remportée grâce à nos amis russes", a souligné M.Haydar. 

Les résultats des négociations entre Sergueï Lavrov et John Kerry "permettent de résoudre ultérieurement tous les problèmes syriens, et non seulement celui des armes chimiques. 

Samedi, les chefs de la diplomatie russe et américaine Sergueï Lavrov et John Kerry sont parvenus à une entente sur le dossier syrien. Les parties ont notamment prôné le règlement politique du conflit syrien et la non-intervention armée dans ce pays proche-oriental et ont convenu sur la destruction complète des stocks d'armes chimiques de Damas d'ici le milieu de l'année 2014.    

La déclaration adoptée par les deux parties servira de base pour une résolution du Conseil de sécurité de l'Onu prise sous chapitre VII de la Charte des Nations unies, qui prévoit la possibilité d'un recours à la force en cas de non-respect des exigences.

Le jour même, l'Onu a reçu des engagements des autorités syriennes d'adhérer à la Convention internationale sur l'interdiction des armes chimiques.
 


Syrie: l'opposition réclame une zone d'exclusion aérienne

La communauté internationale doit instaurer une zone d'exclusion aérienne au-dessus de la Syrie et interdire le régime de Damas d'utiliser les missiles balistiques, a annoncé la Coalition nationale de l'opposition syrienne citée dimanche par les médias occidentaux.

"La Coalition nationale syrienne insiste pour que l'interdiction des armes chimiques, dont l'usage a fait plus de 1.400 morts parmi les civils, soit étendue à l'utilisation des missiles balistiques et de l'aviation contre les zones habitées", a indiqué l'opposition dans un communiqué.

Samedi, les chefs de la diplomatie russe et américaine Sergueï Lavrov et John Kerry sont parvenus à une entente sur le dossier syrien. Les parties ont notamment prôné le règlement politique du conflit syrien et la non-intervention armée dans ce pays proche-oriental et ont convenu sur la destruction complète des stocks d'armes chimiques de Damas d'ici le milieu de l'année 2014.   

La déclaration adoptée par les deux parties servira de base pour une résolution du Conseil de sécurité de l'Onu prise sous chapitre VII de la Charte des Nations unies, qui prévoit la possibilité d'un recours à la force en cas de non-respect des exigences.
 


Syrie: Castro salue l'initiative russe

Le leader légendaire de la révolution cubaine Fidel Castro a hautement apprécié l'initiative de Moscou visant à garantir un règlement politique de la situation qui s'est créée autour de la Syrie.

"L'initiative intelligente de la Russie [a permis d'éviter] le risque d'"explosion" du conflit, lourde de conséquences catastrophiques", a écrit le comandante dans un article publié le 14 septembre par la presse cubaine.

Selon l'homme politique cubain, la Russie a réussi à résister fermement au désir de Washington de lancer "une attaque destructrice" contre la Syrie. L'initiative russe relative aux armes chimiques syriennes, selon M.Castro, permettra de prévenir une "vraie catastrophe d'envergure mondiale".

Afin d'éviter une opération militaire en Syrie, Moscou a appelé le 9 septembre Damas à placer ses arsenaux chimiques sous contrôle international pour ensuite les démanteler. La Russie a également invité la Syrie à rejoindre pleinement l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC).

Damas a immédiatement soutenu cette proposition de Moscou.

Samedi, les chefs de la diplomatie russe et américaine Sergueï Lavrov et John Kerry sont parvenus à une entente sur le dossier syrien. Les parties ont notamment prôné le règlement politique du conflit syrien et la non-intervention armée dans ce pays proche-oriental et ont convenu sur la destruction complète des stocks d'armes chimiques de Damas d'ici le milieu de l'année 2014.   

Le jour même, l'Onu a reçu des engagements des autorités syriennes d'adhérer à la Convention internationale sur l'interdiction des armes chimiques.
 


Syrie/armes chimiques: Obama salue l'accord russo-américain

Le président Barack Obama a salué samedi l'accord russo-américain d'adopter une position commune sur la destruction des stocks d'armes chimiques syriennes. 

"Je salue l'accord parachevé par les Etats-Unis et la Russie lors de nos négociations à Genève. Il s'agit d'un pas important et concret vers le placement des armes chimiques syriennes sous contrôle international en vue de leur destruction ultérieure", a indiqué le président américain dans une déclaration. 

Les chefs de la diplomatie russe et américaine Sergueï Lavrov et John Kerry sont parvenus à une entente sur le dossier syrien. Les parties ont notamment prôné le règlement politique du conflit syrien et la non-intervention armée dans ce pays proche-oriental et ont convenu sur la destruction complète des stocks d'armes chimiques de Damas d'ici le milieu de l'année 2014.  

La communauté internationale a favorablement accueilli cette entente russo-américaine. L'UE, l'Otan et une série de pays occidentaux ont salué l'accord. 

D'après la ministre italienne des Affaires étrangères Emma Bonino, l'entente conclue le 14 septembre à Genève "constitue le premier pas important non seulement vers la destruction des arsenaux chimiques syriens, mais surtout vers un règlement politique de la guerre civile sanglante". 

Toutefois, le président de la commission des Affaires internationales de la Douma (chambre basse du parlement russe), Alexeï Pouchkov a déclaré à RIA Novosti être prudent sur la question. 

Selon lui, il s'agit d'un incontestable acquis qui désarçonne les projets d'intervenir militairement en Syrie. Toutefois, l'homme politique russe a avoué craindre que l'accord en question soit différemment interprété par les parties comme il a déjà été le cas avec une série d'ententes précédentes.

 


Syrie/armes chimiques: Moscou exige une enquête de l'Onu sur toutes les livraisons

Toutes les informations faisant état de livraisons d'armes chimiques en Syrie, y compris en provenance d'Europe, doivent faire objet d'une enquête et être débattues au sien du Conseil de sécurité de l'Onu, a déclaré samedi dans une interview à la chaîne Rossiya 1 le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov. 

"Encore lors du sommet du G8 tenu en juin dernier à Lough Erne (Irlande du Nord), il a été noté dans la déclaration finale sur la Syrie que les dirigeants des pays membres rejetaient catégoriquement tout usage d'armes chimiques par qui que ce soit et que toutes les informations sur le recours [à ce type d'armes] devaient être  immédiatement rapportées au Conseil de sécurité de l'Onu. C'est sur cette logique que repose l'accord que nous avons atteint aujourd'hui avec les Américains et que nous ferons avancer au sein de l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques et devant le Conseil de sécurité des Nations unies", a expliqué le chef de la diplomatie russe. 

Les chefs de la diplomatie russe et américaine Sergueï Lavrov et John Kerry sont parvenus à une entente sur le dossier syrien. Les parties ont notamment prôné le règlement politique du conflit syrien et la non-intervention armée dans ce pays proche-oriental et ont convenu sur la destruction complète des stocks d'armes chimiques de Damas d'ici le milieu de l'année 2014. 

L'initiative de placer les armes chimiques syriennes sous contrôle international et de faire adhérer Damas à la Convention internationale sur l'interdiction de ce type d'armes appartient à Moscou. Avancée lundi dernier dans l'espoir d'éviter une intervention militaire en Syrie, pays dont les autorités sont accusées par une série d'Etats d'avoir mené une attaque chimique le 21 août dernier près de Damas, la proposition russe a tout de suite été acceptée par le régime du président Bachar el-Assad. 

Samedi, le secrétaire général des Nations unies a reçu les engagements de Damas de se joindre  à la Convention sur l'interdiction des armes chimiques.
 


Syrie: Washington reste prêt à une intervention militaire (Obama)

Les Etats-Unis lanceront une opération militaire en Syrie, si les efforts diplomatiques se soldent par un échec, a déclaré samedi le président américain Barack Obama.

"Si la diplomatie connaît un échec, les Etats-Unis restent prêts à agir", a souligné l'hôte de la Maison Blanche qui a reporté une intervention militaire en Syrie suite à l'initiative de Moscou  de placer les arsenaux chimiques syriens sous contrôle de la communauté internationale.

M.Obama a en outre espéré que Damas respecterait ses engagements  en matière d'adhésion à la Convention internationale sur l'interdiction des armes chimiques: "La communauté internationale attend que [le président Bachar] el-Assad exécute publiquement ses engagements".

Afin que les armes chimiques syriennes soient détruites, Washington poursuivra à collaborer avec une série de pays, dont la Russie, a en outre souligné le dirigeant américain.
"Nous avons réalisé des progrès importants, mais il reste encore beaucoup à faire", a conclu M.Obama.

Afin d'éviter une opération militaire franco-américaine en Syrie, Moscou a appelé le 9 septembre Damas à placer ses arsenaux chimiques sous contrôle international pour ensuite les démanteler. La Russie a également invité la Syrie à rejoindre pleinement l'Organisation pour l'interdiction des armes chimiques (OIAC).

Damas a immédiatement soutenu cette proposition de Moscou. Samedi 14 septembre, l'Onu a reçu des engagements des autorités syriennes d'adhérer à la Convention internationale sur l'interdiction des armes chimiques.
 


Syrie : le village chrétien de Maaloula libéré des extrémistes
 

L'armée gouvernementale syrienne a presque entièrement libéré le centre chrétien de la Syrie – Maaloula - des islamistes. Ce village est l'un des rares endroits du monde où l'on continue à parler araméen, la langue du Christ.

 


Syrie/convention sur les armes chimiques: l'Onu reçoit les engagements de Damas

Le secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon a reçu samedi les documents nécessaires à l'adhésion de la Syrie à la Convention internationale sur l'interdiction des armes chimiques, rapporte le service de presse de l'Onu dans un document. 

"Le secrétaire général [de l'Onu], en tant que dépositaire de la convention de 1992 sur l'interdiction des armes chimiques, a reçu aujourd'hui un instrument officiel d'adhésion de la République arabe syrienne à la convention", indique le document. 

Plus tôt dans la journée de samedi, le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov avait fait savoir dans une interview à la chaîne Rossiya 1, que Damas s'était engagé par écrit à respecter la Convention en question dès le dépôt de sa requête et sans attendre l'adhésion formelle, l'accord devenant effectif un mois après sa signature. 

D'après le chef de la diplomatie russe, cette démarche des autorités syriennes a permis à Moscou et Washington de parvenir à un accord rapide sur les conditions du transfert des stocks chimiques syriens sous contrôle international. 
 



Syrie: Al-Qaïda déclare la guerre à l'Armée syrienne libre

Le groupe d'opposition syrienne Etat islamique en Irak et au Levant, branche irako-syrienne d'Al-Qaïda, a annoncé le début des hostilités contre son ex-allié, l'Armée syrienne libre (ASL), rapporte samedi le quotidien Al-Watan Al-Arabi.

C'est la première confrontation ouverte au sein de la rébellion syrienne. Selon une déclaration du groupe mise en ligne sur un site extrémiste, l'Etat islamique en Irak et au Levant projette une "opération punitive" contre  l'Armée syrienne libre dans la banlieue est d'Alep.

"Cette campagne baptisée Lutte contre le mal visera les agents du régime syrien ainsi que les membres de l'Armée syrienne libre qui perpètrent des attaques contre les militants de l'Etat islamique", lit-on dans la déclaration.

Le journal fait également état de nombreuses actions de protestation organisées par la population civile dans la région d'Alep, sur les territoires contrôlés par les rebelles.

 


Washington se croit en droit de frapper la Syrie (Kerry)

Les Etats-Unis estiment que la décision de recourir à la force contre la Syrie peut être adoptée aussi bien par le Conseil de sécurité de l'ONU que par le président Barack Obama, a déclaré le secrétaire d'Etat américain John Kerry lors d'une conférence de presse à l'issue de négociations à Genève avec le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov.

"Aux termes de notre Constitution, le président des Etats-Unis est le commandant en chef des forces armées du pays. Il se réserve le droit de prendre des décisions qui s'imposent dans l'intérêt de la sécurité nationale des Etats-Unis", a affirmé M. Kerry.

Cependant, a-t-il ajouté, "notre président a indiqué qu'il voulait trouver une solution politique dans cette situation".

Lors des négociations entre MM. Lavrov et Kerry à Genève, les chefs de diplomatie russe et américain ont souligné que le conflit syrien n'avait pas de solution militaire et devait être réglé par la voie de négociations.
 


Poutine-Obama: échange de données sur les armes chimiques en Syrie (Lavrov)

Les présidents russe et américain, Vladimir Poutine et Barack Obama, ont convenu d'échanger régulièrement leurs informations sur l'état des stocks d'armes chimiques en Syrie, a annoncé le ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov dans une interview à la chaîne de télévision Rossiya 1.

"Afin de pouvoir contrôler la situation, les présidents ont convenu de procéder régulièrement, par le biais de leurs structures compétentes, à un échange d'évaluations et d'informations sur l'état des arsenaux chimiques du gouvernement syrien", a déclaré M. Lavrov.

Selon lui, cet échange entre MM. Poutine et Obama "a débuté en juin 2012 à Los Cabos où les deux présidents se sont rencontrés en marge du sommet du G20".

D'après M. Lavrov, ils ont alors évoqué de nombreux problèmes, y compris la situation en Syrie. Les deux dirigeants ont exprimé leur inquiétude face au risque de voir les armes chimiques tomber dans de mauvaises mains lors des affrontements entre les troupes gouvernementales et la rébellion.

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