Syrie. Syrie: l'ASL reproche à Al-Qaïda de s'approprier l'aide étrangère

Ria Novosti Jeudi le 18 Juillet 2013 Société Imprimer Envoyer cet article à Nous suivre sur facebook Nous suivre sur twitter Revoir un Programme TV Grille des Programmes TV Où Vendre Où Danser Où Dormir au Cameroun
Le porte-parole de l'Armée syrienne libre (ASL) Fahd el-Masri a déclaré jeudi à la chaîne de télévision Russia Al Youm (Russia Today) que l'aide militaire et financière étrangère ne parvenait pas à son organisation.

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"Ces islamistes et terroristes [d'Al-Qaïda, ndlr] bénéficient du soutien de plusieurs Etats de la région, ainsi que de certaines puissances mondiales. On en vient logiquement à se demander pourquoi reçoivent-ils l'aide militaire et financière, alors que les armes ne parviennent pas aux soldats de l'Armée syrienne libre?", a déclaré M. el-Masri.

Selon lui, il s'agit d'une tentative manifeste visant à affaiblir la Syrie.

Les Etats-Unis ont ouvertement annoncé en juin dernier leur intention de fournir des armes aux rebelles syriens. Pour justifier cette démarche, Washington a fait savoir qu'il disposait de "preuves" confirmant l'utilisation d'armes chimiques par les troupes gouvernementales syriennes.

Damas a pour sa part déclaré que ces preuves étaient "fabriquées de toutes pièces".


Syrie: les USA n'envisagent pas d'entraîner les rebelles (Pentagone)

Le Pentagone n'envisage pas d'entraîner les rebelles syriens qui se battent contre les troupes de Bachar el-Assad, a déclaré jeudi le chef du Comité des chefs d'état-major, le général Martin E. Dempsey.

Cet entraînement "ne sera pas dispensé par le ministère de la Défense, mais par d'autres moyens, voire, peut-être, par d'autres pays ", a déclaré M. Dempsey interrogé par les sénateurs américains.

Le général a néanmoins souligné que les Etats-Unis étaient disposés à "renforcer les rebelles".

De son côté, la Grande-Bretagne a l'intention de leur faire suivre une formation militaire, a annoncé lundi le quotidien britannique Daily Mail, citant une source haut placée au sein du gouvernement.

Selon l'interlocuteur du journal, les entraînements et les consultations constituent la seule méthode susceptible de "modifier le rapport de force sur le terrain".

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