Syrie. Syrie: Ban Ki-moon dénonce l'attentat contre le premier ministre

Ria Novosti Mardi le 30 Avril 2013 Société Imprimer Envoyer cet article à Nous suivre sur facebook Nous suivre sur twitter Revoir un Programme TV Grille des Programmes TV Où Vendre Où Danser Où Dormir au Cameroun
Le secrétaire général des Nations unies Ban Ki-moon a dénoncé l'attentat perpétré lundi contre le premier ministre syrien Wael al-Halki, le qualifiant d'acte terroriste, lit-on dans un communiqué diffusé par le porte-parole de l'Onu Martin Nesirky.

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"Le secrétaire général dénonce l'attaque terroriste visant le cortège du chef du gouvernement syrien Wael al-Halki perpétrée à Damas lundi matin, qui a fait des morts et des blessés", a indiqué M.Nesirky.

Le porte-parole s'est également prononcé contre "la militarisation et la radicalisation ultérieures" de la crise syrienne, appelant au "dialogue" et à la "réconciliation" entre les parties en conflit.

L'attentat à la voiture piégée perpétré lundi contre le cortège de M.Halki en plein centre de Damas a coûté la vie à dix personnes et fait 13 blessés. Le premier ministre n'a pas été blessé dans l'attaque.


Syrie: une victoire rebelle sera une menace pour la région (Ahmadinejad)


Une victoire des anti-Assad en Syrie entraînerait une vague d'insécurité qui "sera une menace pour l'ensemble de la région", a déclaré dimanche le dirigeant iranien Mahmoud Ahmadinejad cité sur le site internet de la présidence.

"L'arrivée au pouvoir des rebelles se traduira par la poursuite de la guerre et de l'insécurité pour une longue période (…). L'insécurité en Syrie mettra en danger la sécurité des pays voisins, et sera une menace pour l'ensemble de la région" a estimé M.Ahmadinejad.

L'Iran, bête noire des Etats-Unis et d'Israël, est l'un des principaux soutiens du régime de Damas dans le conflit qui secoue la Syrie depuis mars 2011. L'Iran ne cesse d'accuser certains pays arabes et européens de soutenir les terroristes en Syrie et de vouloir déstabiliser ce pays et la région. Téhéran estime en outre que la résolution de la crise en Syrie ne peut être imposée de l'extérieur.

Le conflit en Syrie a fait plus de 70.000 morts et des centaines de milliers de réfugiés depuis mars 2011, selon l'Onu. Les rebelles syriens bénéficient d'un soutien étranger. Damas affirme que des milliers de mercenaires étrangers, y compris des commandos de groupes terroristes, combattent dans les rangs de l'opposition armée. L'Occident ne cesse d'insister sur le départ du président Bachar el-Assad.

 

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