Après sa victoire (1-0) contre UMS dimanche lors de la 28e journée, le club du Dja-Et-Lobo n’est plus reléguable

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Les dirigeants de Colombe peuvent respirer. Du moins, pour l’instant. Car, après la victoire (1-0) dimanche contre UMS, l’équipe du Dja-et-Lobo sort de la zone rouge où elle végétait depuis de longues journées. Avec désormais 32 points, Colombe effectue un bond au classement et remonte à la treizième place. Le club signe sa quatrième victoire consécutive qui plus est, sans encaisser de but. Mais, Colombe continue tout de même de flirter avec la zone rouge. Les poulains d’Olivier Nankam sont à égalité de points avec Racing (premier reléguable), Aigle de la Menoua et Les Astres de Douala. Seule une différence de buts favorable (-4) permet à Colombe de se donner un peu d’air à l’issue de la 28e journée. Aussi  pour le staff technique, pas question de céder à l’euphorie.  « Cette saison n’est pas encore finie. On va continuer à travailler, à garder la tête sur les épaules. C’est à la fin que je saurais si j’ai atteint mon objectif », déclare Olivier Nankam, l’entraîneur de Colombe.

La lutte pour le maintien promet d’être acharnée, à six journées de la fin. Seuls quatre points séparent Racing (16e) et Unisport du haut Nkam (9e). Canon de Yaoundé reste de son côté reste lanterne rouge, après son match nul (1-1) contre Aigle. Le club de Nkolndongo reste sur une série noire de 12 matchs sans victoire. Son dernier succès remonte à la 16e journée (2-1) contre New Stars. Au stade actuel de la compétition, Eding Sport est la seule équipe assurée du maintien mathématiquement. Le club de la Lékié garde un écart plus ou moins confortable en tête du classement après son succès contre Dragon. Avec 55 points, soit 6 unités d’avance sur Coton Sport qui a battu New Stars en match en retard hier (3-1), Eding n’est plus qu’à quatre victoires (12 points) de son premier titre de champion du Cameroun. A signaler également, les accidents de la circulation dont ont été victimes Minkréo Birwé, le coach de Coton Sport et Jules Nyongha de Bamboutos. Les deux techniciens s’en tirent avec quelques points de suture.
 

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