Lutte contre Boko Haram. La France condamne les attaques terroristes des 21-22 novembre au Cameroun

Investir au Cameroun Jeudi le 24 Novembre 2016 Opinion Imprimer Envoyer cet article à Nous suivre sur facebook Nous suivre sur twitter Revoir un Programme TV Grille des Programmes TV Où Vendre Où Danser Où Dormir au Cameroun
Dans communiqué publié le 23 novembre, le Quai d’Orsay déclare que la France condamne les attaques perpétrées au nord du Cameroun dans la nuit du 21 au 22 novembre, causant la mort de plusieurs personnes, dont des militaires camerounais engagés au sein de la Force multinationale mixte (FMM) chargée de la lutte contre la groupe islamiste Boko Haram.

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« Nous adressons nos condoléances aux familles des victimes. La France salue l'engagement du Cameroun et des États de la région au sein de la force multinationale mixte pour lutter contre le terrorisme dans le bassin du Lac Tchad. Elle leur réaffirme sa solidarité et son soutien. », indique le Quai d’Orsay.

De fait, dans la nuit du 22 novembre, l’assaut du groupe islamiste a coûté la vie à un membre du comité de vigilance à Darak. Mais également à cinq militaires camerounais. Il s’agit du capitaine Tchengue Marcel et des soldats Bewesse Ndzana, Zoua Bessala Serge, Foung Arthur, Abayatini Alawo. Le matelot Fosso Fossi Michael, lui, a été blessé. La veille, une kamikaze transportant 9 bombes a été abattue par la FMM en essayant de se faire exploser dans un camp de déplacés à Kolofata.

Selon Amnesty International, mouvement mondial qui défend les droits de l’homme, entre juillet 2015 et juillet 2016, Boko Haram, a perpétré 46 attentats suicides, dans la région de l’Extrême-Nord du Cameroun, tuant plus de 500 civils.

Au sein des forces de sécurité camerounaise, souligne Amnesty, 67 personnes ont également été tuées depuis 2014.

S.A
 

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