Au moment où les lionceaux se trouvent du côté de Sofia en Bulgarie pour livrer une rencontre amicale contre ce pays leur entraîneur principal Martin Ntoungou Mpilé se retrouve lui du côté de Skopje en Macédoine pour dit il « superviser et négocier la mise à disposition de 3 des juniors remplissant encore des critères de sélection et qui se retrouvent chez les lions A ».

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Quelle incongruité quand on sait que ce genre de mission fait partie de la prérogative des cadres de la Direction Technique Nationale. Ceci nous emmène en effet de se poser quatre questions :

Primo :

Est-ce véritablement le moment opportun pour la concertation entre les deux sélectionneurs alors que leurs équipes livrent des rencontres amicales de préparation le même jour ?

 

Secundo :

Pour ce qui est des juniors qui ne disposent plus d’assez de temps pour la préparation de la Coupe d’Afrique des Nations de leur catégorie qui se déroule dans quelques semaines, la présence de l’entraîneur principal ne serait elle pas plus judicieuse pour le match de Sofia pour une revue générale de ses troupes qu’à Skopje pour  négocier la mise à disposition de 3 joueurs présent au sein de la sélection des A fût ils les plus performent ?

 

Tercio :

Ce type de mission ne peut il pas être confié à l’entraîneur adjoint ?

 

Quarto  :

A quoi sert la Direction Technique Nationale qui devrait jouer le rôle de régulateur entre les différents sélectionneurs nationaux ?

 

Il est peut être temps pour le Ministère des Sports de l’Education  Physique et la Fédération Camerounaise de Football de mettre fin à la cacophonie qui règne au sein des différentes tanières. Car  malgré les différents échecs tout  laisse à croire qu’aucune leçon n’est jusqu’ici tiré par ceux qui dirigent  notre  sport roi. Autres preuves de ces situations cafcaienne le refus grotesque des entraîneurs de répondre à une convocation de leur employeur, la danse bafia (consistant  d’avancer d’un pas, et de reculer de trois )  orchestrer par certains joueurs dit « cadres » ?Pourtant attendu au sein du groupe pour le match contre la Macédoine.

 

Le laxisme exacerbé du coach  Espagnole Xavier Clementé  que d’aucuns veulent déjà  pousser vers la porte de sortie.

 

Si rien est fait d’ici quelques jours pour sauver ce qui peut l’être encore sur plan de organisationnel de nos différentes sélections nationales, le football Camerounais continuera sa descente inéluctable vers les abîmes Parce que comme disait l’autre « c’est comme l’on fait son lit que l’on se couche » et «  qui voudrait aller loin ménage sa monture ».

 

 

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