Nécrologie. KOBE BRYANT : Etole et symbole

cameroun24.net Lundi le 27 Janvier 2020 Opinion Imprimer Envoyer cet article à Nous suivre sur facebook Nous suivre sur twitter Revoir un Programme TV Grille des Programmes TV Où Vendre Où Danser Où Dormir au Cameroun
Lorsqu’on marche sous les étoiles, on ne craint pas la nuit.

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Lorsqu’on porte une étole sur ses épaules, on ne sent pas le poids des challenges qu’on affronte.

Lorsque chante l’aube des jours sans, on fait avec, avec entrain…

Les hommes trouvent leurs chemins en regardant les étoiles.
Les destins creusent leurs sillons en étant à l’école des étoiles.

On n’a pas besoin de rencontrer les étoiles, pour profiter de leur lumière.

On n’a pas besoin de toucher le ciel pour voir les étoiles.

On n’a pas besoin, pour briller, d’être né sous la bonne étoile.

KOBE BRYANT, au-delà du sport, du basket-ball, tu m’as appris et a appris aux femmes et hommes de ta génération dans les années 2000, à suivre les étoiles.

L’arrogance du talent. Spectaculaire sur les parquets !

Le culte du succès, absolu.

L’ingéniosité explosive.

De l’amplitude dans le jeu, de l’attitude dans les tirs à trois points, de l’altitude vers le panier.
A te regarder faire, parfaire sur les parquets, in avait l’énergie de voler vers l’impossible.
Parce que tu étais, au cours des matchs, un faiseur d’impossible.

Une étoile ne s’éteint pas, c’est juste une étole qui passe d’épaules. Dans le monde, d’épaules en épaules, cette étole d’excellence, d’explosivité créatrice passera, pour que les étoiles continuent toujours de briller.

Sous le saule pleureur, avec Solaar, je pleure. Pas longtemps.

Parce que lorsqu’on marche sous les étoiles, on ne craint pas la nuit.

François Bimogo

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