Appel à la mobilisation

ADS

COMMUNIQUE DE PRESSE
 


Appel aux médias africains à Paris, le jeudi 17 juillet 2014 à 15h30, mairie du 20ème arrondissement de Paris, à rester mobilisés pour plus de 200 lycéennes kidnappées par le groupe terroriste Boko Haram, le 14 avril 2014 dans leur établissement scolaire de Chibok, dans l’État de Borno (nord-est du Nigeria)
 

Le Club de l'Information, l'Union de la Presse Africaine, Nigerian
Networking France, Afrique France Globale et Aminiout Vision, lancent un appel aux médias africains à rester mobilisés par des actions et à ne pas oublier les lycéennes kidnappées par le groupe terroriste BokoHaram.

Intervenant :

-    Lanciné Camara, Président de l’Union de la presse Africaine
-    Marienta Ikako Osere,  Afrique France Globale Communication
-    Uché Ejims, Nigerian Networking France
-    Amina M’Bow, Aminiout Vison, La Com’Solidaire
 

Pour une première, ce rendez-vous des médias africains aura lieu le jeudi 17 juillet 2014 à 15h30, au 6 Place Gambetta, mairie du 20ème arrondissement de Paris.
 Pour soutenir les familles des otages, protéger la liberté de l'éducation des filles en Afrique et, lutter contre le terrorisme qui grandit dans le continent africain.

Certes, nous savons qu'en période de grandes vacances scolaires, les effectifs des rédactions sont souvent réduits. Cependant, nous tenons à lancer un appel aux médias africains, à rester mobilisés jusqu'à la libération des lycéennes kidnappées par ces terroristes sans foi ni loi.

Rappelons que plus de 60 femmes et jeunes filles ont été, à nouveau enlevées dans le nord-est du Nigeria, en juin dernier, en plus des 200 lycéennes aux mains de Boko Haram, depuis le 14 avril 2014. Cependant nous nous réjouissons de l'évasion de 63 otages qui ont pu ainsi rejoindre leurs familles dans la nuit du 6 juillet. Sans oublier que cette évasion pourrait durcir les conditions de détention des autres.

Bref, de nombreuses manifestations ont déjà eu lieu  dans le monde mais elles n'avaient pas été suffisamment relayées par les médias .Car, elles n'avaient pas été parrainées par des personnalités politiques mondiales ou du showbiz.

Ne pas en parler c'est banaliser ces scandaleux enlèvements. N’oublions donc  pas ses jeunes femmes qui pourraient être ''nos sœurs, nos cousines, nos nièces, nos filles''...


C’est pourquoi, nous lançons l'appel aux médias surtout aux médias africains, afin de trouver les moyens de relayer les actions des petits mouvements de la société civile pour la libération de ces jeunes femmes. Car, chaque action est un pas vers leur liberté.  
Au final, ne restons pas muets sur une situation qui  est inadmissible. Ensemble trouvons vite  des solutions pour mieux communiquer.

ADS