Commentaire autour du nouveau départ attendu de Denis Lavagne.Les lions indmptables ont battu la Guinée Bissau à Bissau ce 29 février 2012 sur la plus petite des marques (0-1). But marqué à la 87ème par Eric-Maximes Choupo moting, sur une action personnelle.

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Une victoire qui laisse tout de même une certaine de manœuvre marge importante pour les poulains de Denis Lavagne qui recevront leus adversaires en match retour de ce deuxième tour des éliminatoires de la, en juin prochain à Yaoundé. D’autant plus qu’ils pourront aborder la lune avec moins de pression tant ils auront une courte avance, coupe d’Afrique des nations (Can) 2013.Pour autant, et malgré les succès relatifs engrangé par le nouveau patron dubanc de touche camerounais, il y a lieu de questi  onner la manière avec laquelle les Lions indomptables ont remporté la partie face à «une formation moins aguerrie de Guinée-Bissau», comme l’a si bien observé Fernand Nenkam, journalsite et ancien dirigeant de club. « La rencontre n'était pas enlevée. métronome dans l'entrejeu Absence ou manque d'un. Des joueurs pas agressifs, marquage individuel et jeu sans ballon nuls. Une attaque moins inquiétante sans doute à cause de son inexpérience mais aussi du manque de travail collectif», commente l’observateur proche de l’équipe nationale. Déjà, le temps mis pour inscrire le but qui sauve : 87 minutes. Alors que les guinéens l’avaient fait quelques avant. Et si l’arbitre central de la partie, … avait validé ce but dont le jugement est pour le moins discutable, cela aurait peut-être même changé le destin d’une rencontre que les camerounais avaient de la peine à prendre à leur compte.

 

 

Une sélection de Cotonsport

Loin de faire la polémique, il y a lieu lieu de questionner la sélection de Denis Lavagne. En commençant par le choix porté sur Guy Roland Ndy Assembe, plutôt qu’Idris Carlos Kameni que le nouvel entraîneur lui-même a reconnu lors

de sa dernière conférence de presse, comme étant le gardien titulaire. Aun moment où l’on a besoin de renaître de nos propres cendre, Denis Lavagne a préféré jeter son dévolu comme il l’a fait à Marrakech, sur le jeune Ndy Assembe qui ne semblait se faire confince personnellement. On peut comprendre que le portier principal n’est pas en forme, pour inactivité sérieuse ces derniers temps ; mais on pourrait également y opposer le cas Njitap qui, à ses derniers moments dans l’équipe nationale, n’avait plus que cette sélection comme club ; ou plus frais encore dans les têtes, celui de Matthew Andongcho qui n’a pas eu seulement la chance cette fois-ci, d’être convoqué com  me par le passé, alors qu’il n’a pas de club depuis de longs mois. En , Denis Lavagne a préféré Loïc Feudjou, le gardien de Cotonsport de Garoua, qui n’a jamais flirté avec aucune sélection nationale. Là où l’on attendait un certain Effala Komguep qui a fait ses preuves dans toutes les sélections inférieures et qui avait déjà commencé à s’habituer au banc de touche de l’équipe A. Donnant raison à ceux qui lui prête des ambitions mercantilistes, grâce à sa potion. Un peu une façon de positionner son ancien poulain qui revient d’une aventureinfructueuse outre Méditerranée. Il faut relancer l’affaire. Le temps qu’on est encore là car faute d’avoir un contrat en bonne et comme tous les entraîneurs sérieux dans le monde, il faut profiter autrement des avantages liés à sa fonction, mieux, à sa position qui ouvre les portes du bonheur. Toujours est-il que Denis Lavagne ne parvient pas à se défaire de l’étoffe de manager de Cotonsport qui lui a servi de levier pour être propulsé à la tête

des Lions. Cinq sur les 19 qui ont fait le voyage de bissau sont joueur ou anciens joueurs de Cotonsport, ont bénéficié de la confiance de l’ex manager du club de Garoua.

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