Syrie. Frappes en Syrie: des chasseurs de 5e génération utilisés (Pentagone)

Ria Novosti Mercredi le 24 Septembre 2014 Société Imprimer Envoyer cet article à Nous suivre sur facebook Nous suivre sur twitter Revoir un Programme TV Grille des Programmes TV Où Vendre Où Danser Où Dormir au Cameroun
Des chasseurs bombardiers furtifs F-22 Raptor, les plus sophistiqués de l'arsenal aérien américain, ont été utilisés mardi pour la première fois lors des frappes menées en Syrie contre les djihadistes, a annoncé William Mayville, directeur des opérations de l'état-major interarmées.

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"Des chasseurs bombardiers furtifs F-22 Raptor ont été engagés, c'était leur +baptême du feu+", a déclaré le général Mayville lors d'un point de presse au Pentagone.

Le F-22 Raptor est l'unique chasseur de 5e génération au monde en dotation. Selon différentes estimations, un appareil coûte 130 à 180 millions de dollars.
Les Etats-Unis ont lancé mardi matin des frappes contre les djihadistes de l'Etat islamique, du Front Al-Nosra et de Khorasan en Syrie depuis des navires déployés en mer Rouge et dans le nord du golfe Persique. Selon le commandement central des forces américaines (Centcom), l'Arabie saoudite, les Emirats arabes unis, la Jordanie, Bahreïn et le Qatar ont participé à ces raids.
 


Syrie: la coalition frappe les islamistes aux environs d'Alep

Les avions de la coalition internationale dirigée par les Etats-Unis ont mené une nouvelle série de frappes contre des islamistes opérant en Syrie, rapporte mercredi la chaîne de télévision Sky News Arabia citant des sources proches du dossier.

D'après les interlocuteurs de la chaîne, l'aviation a attaqué les positions des djihadistes aux environs de l'une des plus grandes villes syriennes, Alep.

Parmi les localités visées par les frappes figurent Ayn al-Arab, Sirin, Kara Kuzak et Al-Bab, actuellement contrôlées par les groupes extrémistes. La chaîne ne fournit toutefois pas d'informations concernant d'éventuelles victimes ou des destructions sur le terrain.

Les Etats-Unis ont lancé mardi matin des frappes contre les djihadistes de l'Etat islamique, du Front Al-Nosra et de Khorasan en Syrie depuis des navires déployés en mer Rouge et dans le nord du golfe Persique. Selon le commandement central des forces américaines (Centcom), l'Arabie saoudite, les Emirats arabes unis, la Jordanie, Bahreïn et le Qatar ont participé à ces raids.
 


Syrie/raids: Washington promet de ne pas attaquer les forces gouvernementales (médias)

Les Etats-Unis ont promis de ne pas attaquer les forces gouvernementales syriennes lors des frappes visant les djihadistes de l'Etat islamique (EI) opérant dans le pays, rapportent mercredi les médias occidentaux citant un responsable iranien.

Selon ce responsable, qui se réfère à son tour à un porte-parole du gouvernement américain, Washington a informé Téhéran de son intention de mener des frappes contre l'Etat islamique sur le territoire syrien.

L'EI, appelé autrefois l'Etat islamique en Irak et au Levant (EIIL), sévissait au départ principalement en Syrie où il combattait les troupes gouvernementales, s'imposant comme l'une des organisations terroristes les plus cruelles. Il y a quelques mois, l'EI s'est soudainement activé en Irak, s'emparant d'importants territoires.

Fin juillet l'EI a proclamé un califat islamique sur les territoires irakiens et syriens sous son contrôle. Depuis le 8 août, l'armée américaine porte des frappes aériennes contre les positions des djihadistes de l'EI en Irak.

Mardi matin, les Etats-Unis ont lancé des raids contre les combattants de l'Etat islamique, du Front Al-Nosra et de Khorasan en Syrie depuis des navires déployés en mer Rouge et dans le nord du golfe Persique. Selon le commandement central des forces américaines (Centcom), l'Arabie saoudite, les Emirats arabes unis, la Jordanie, Bahreïn et le Qatar ont participé à ces raids.
 


Syrie/Irak: le nombre de djihadistes européens en hausse (responsable UE)

Le nombre de jihadistes européens partis combattre en Syrie et en Irak a progressé ces derniers mois pour atteindre 3.000 personnes, a annoncé le coordinateur de l'UE pour la lutte contre le terrorisme Gilles de Kerchove cité par les médias occidentaux.

Selon le responsable, cette augmentation serait due à l'avancée sur le terrain du groupe extrémiste Etat islamique (EI) et à la proclamation en juin d'un "califat" sur les territoires irakiens et syriens passés sous son contrôle.

Ces combattants arrivent pour la plupart de France, de Grande-Bretagne, d'Allemagne, de Belgique, des Pays-Bas, de Suède et du Danemark, mais aussi d'Espagne, d'Italie, d'Irlande et désormais d'Autriche, a fait savoir M.de Kerchove.

L'EI, appelé autrefois l'Etat islamique en Irak et au Levant (EIIL), sévissait au départ principalement en Syrie où il combattait les troupes gouvernementales, s'imposant comme l'une des organisations terroristes les plus cruelles. Il y a quelques mois, l'EI s'est soudainement activé en Irak, s'emparant d'importants territoires. Depuis le 8 août, l'armée américaine porte des frappes aériennes contre les positions des djihadistes de l'EI en Irak.

Mardi matin, les Etats-Unis ont lancé des raids contre les combattants de l'Etat islamique, du Front Al-Nosra et de Khorasan en Syrie depuis des navires déployés en mer Rouge et dans le nord du golfe Persique.
 


Syrie/Etat islamique: des mesures politiques nécessaires (Staffan de Mistura)

Les frappes contre le groupe Etat islamique en Syrie doivent être accompagnées d'un processus politique, a annoncé mercredi aux journalistes l'envoyé spécial de l'Onu pour la Syrie Staffan de Mistura.

"Les mesures de riposte en matière de sécurité ne suffisent pas seules contre l'EI, car il est nécessaire - et tout le monde le reconnaît, et Bachar el-Assad lui aussi, - de mener en même temps un processus politique", a déclaré le diplomate à l'issue d'une réunion avec les ministres des Affaires étrangères des pays membres de la Ligue arabe.

Les Etats-Unis ont lancé mardi matin des frappes contre les djihadistes de l'Etat islamique, du Front Al-Nosra et de Khorasan en Syrie depuis des navires déployés en mer Rouge et dans le nord du golfe Persique. Selon le commandement central des forces américaines (Centcom), l'Arabie saoudite, les Emirats arabes unis, la Jordanie, Bahreïn et le Qatar ont participé à ces raids.
 


L'EI insulte Obama après les premiers raids américains

Dans un message d'une heure, le porte-parole de l'Etat islamique (EI) Abou Mohammed al-Adnani s'élève contre les bombardements des positions de son organisation terroriste par les USA et leurs alliés, écrit mercredi 24 septembre le quotidien Nezavissimaïa gazeta.

Il affirme dans cette vidéo que les opérations lancées par Washington se termineront par une défaite humiliante, qualifie le président américain de "mule des juifs" prétendant juger l'islam et accuse l'Occident de sorcellerie.

Le discours d'al-Adnani, "terroriste international particulièrement dangereux" d'après Washington, est la première réponse des extrémistes musulmans aux affirmations selon lesquelles leurs actions n'ont rien à voir avec les valeurs de l'islam, que le président Obama a lancé à six reprises déjà. Selon al-Adnani, les prétentions du dirigeant américain de devenir "expert de l'islam" sont ridicules. "Obama, cette mule des juifs, est tout à coup devenu cheikh, il s'est transformé en mufti et en prophète islamique, et il dit que l'EI n'a rien à voir avec l'islam. Kerry aussi, ce vieux schnock non-circoncis, s'est converti en juriste musulman", déclare l'extrémiste.

D'après ce dernier, l'aspiration des Etats-Unis à critiquer l'EI sur ses positions musulmanes témoigne de la faiblesse de Washington: "Les Américains se sont transformés en juristes islamiques, en muftis, en cheikhs, il semblent ne plus croire en la force et la sincérité de leurs sorciers qui travaillent pour eux dans divers centres d'analyse". Le porte-parole de l'EI a accusé le président américain de mentir: "Ô Obama, tu as dit que tu retirerais les troupes d'Irak il y a quatre ans. Nous vous avons traités de menteurs, et vous voilà". "Vous combattez un peuple impossible à vaincre. Un peuple de ceux qui gagnent ou meurent. Ô Obama, tu as dit que le bras long de l’Amérique pourrait atteindre toute [cible]. Mais sache que notre lame est dure et tranchante, et qu'elle coupera des mains et des têtes, et notre Dieu, grand et majestueux, est toujours aux aguets", conclut l'islamiste.

Les islamistes adressent au monde occidental ce long message, contrairement aux vidéos habituellement bien plus courtes, au moment où la France a rejoint les opérations en Syrie et en Irak. Plusieurs dizaines de terroristes ont été éliminés, selon les informations préliminaires, après les bombardements français contre les positions logistiques de l'EI. L'animosité des musulmans radicaux contre Paris se reflète dans le discours d'al-Adnani. Il a qualifié les Français de "méchants et dégoûtants", appelant les guerriers du jihad à assassiner des citoyens de la Ve République.

La veille, les islamistes algériens de l'EI sont passés des paroles aux actes en prenant en otage le Français Hervé Gourdel. Les extrémistes sont prêts à exécuter l'Européen si les bombardements en Irak et en Syrie ne cessaient pas. Paris déclare que ces menaces seront ignorées.
 


Irak: la France déterminée à poursuivre ses frappes contre l'EI

Les avions de combat français poursuivront, dans les jours qui viennent, leurs frappes contre le groupe Etat islamique (EI) en Irak, a annoncé le ministre français de la Défense Jean-Yves Le Drian, cité par les médias locaux.

"Nous sommes dans la coalition, nous avons été appelés par les autorités irakiennes, en appui aérien à leurs actions militaires au sol menées par les forces irakiennes et du Kurdistan, et donc nous accomplirons notre devoir", a indiqué le ministre, ajoutant que "nous continuerons les frappes dans les jours qui viennent, bien évidemment."

Selon le ministre, les avions de combat français poursuivent leurs "missions de surveillance et d'identification" pour "repérer des cibles de nature à empêcher, enrayer, les forces de l'État islamique, et permettre aux forces au sol de reconquérir du terrain".

 


Les Américains perplexes face à la politique étrangère d'Obama (Washington Post)

La société américaine ne comprend pas le scénario de politique étrangère proposé par le président Barack Obama, écrit le journaliste Richard Cohen dans une tribune publiée mercredi par le Washington Post.

L'analyste note que, selon un récent sondage d'opinion, 48% des Américains désapprouvent la position adoptée par le chef de la Maison Blanche dans la lutte contre le groupe terroriste Etat islamique (EI) et sont mécontents de la politique étrangère de Washington en général.

"Le problème pour Obama consiste en ce que la politique étrangère US à l'égard de l'EI manque de fondement. Obama était le seul président qui souhaitait mettre fin à la campagne irakienne, et voilà qu'aujourd'hui il la relance à nouveau. La société ne comprend pas pourquoi le président a changé de position si brusquement", estime M.Cohen.

Il indique également que la lutte contre l'EI ne sera pas "une promenade facile" pour les Etats-Unis.

"La situation pourrait se compliquer même en cas de "victoire" sur les terroristes. Après avoir perdu un ennemi commun, les insurgés chiites et kurdes pourraient faire la guerre les uns aux autres. Les réserves de haine au Proche-Orient sont aussi importantes que celles de pétrole", explique l'analyste.

Les Etats-Unis ont lancé mardi matin des frappes contre les djihadistes de l'Etat islamique, du Front Al-Nosra et de Khorasan en Syrie depuis des navires déployés en mer Rouge et dans le nord du golfe Persique. Selon le commandement central des forces américaines (Centcom), l'Arabie saoudite, les Emirats arabes unis, la Jordanie, Bahreïn et le Qatar ont participé à ces raids.

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