Cameroun - Communication. De nouvelles sanctions du Conseil national de la Communication

Assiatou NGAPOUT M. | Cameroon-tribune Mercredi le 27 Juillet 2016 Culture Imprimer Envoyer cet article à Nous suivre sur facebook Nous suivre sur twitter Revoir un Programme TV Grille des Programmes TV Où Vendre Où Danser Où Dormir au Cameroun
Ces décisions ont été prises par l’instance à l’issue de la 6e session extraordinaire tenue le 14 juillet dernier à Yaoundé

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Sur dix cas soumis à l’appréciation du Conseil national de la Communication (CNC), neuf décisions de sanctions ont été prises. Elles vont de l’avertissement à la suspension à l’encontre de journalistes et d’organes de presse.  Il s’agit de l’hebdomadaire « L’Epervier » qui a connu deux cas de suspensions « pour manquement aux exigences professionnelles de vérification et d’équilibre dans le traitement de l’information ». Pour le premier cas concernant l’affaire Eletana Ayinda René, intendant adjoint à la présidence de la République, le CNC a  suspendu pour une durée de trois mois la parution de l’organe de presse en cause et pour le second cas, le conseil suspend pour une durée de six mois la parution de ce journal. Le directeur de publication dudit organe est également suspendu de toute activité dans le secteur de la presse pendant la même période. L’hebdomadaire « Canard libre » est, quant à lui, suspendu pour une durée d’un mois, tout comme son directeur de publication.

S’agissant de l’Hebdomadaire « Ades-Infos le Regard », l’organe de presse écope d’une sanction d’une durée de trois mois de parution .Le directeur de publication est également suspendu de toute activité dans le secteur de la presse pendant la même période. L’hebdomadaire « La tornade » se voit suspendre pour une durée de deux mois la parution de son organe de presse en cause ainsi que son directeur de publication. L’hebdomadaire « Essingan », le quotidien « The Guardian post », le journal « The Median » écopent chacun d’un avertissement pour fautes constitutives d’atteintes à l’éthique et à la déontologie professionnelle en matière de communication sociale. C’est la même faute qui est reprochée au journaliste Roger Kiyek, présentateur de l’émission « On refait l’Actu » sur « Royal FM », un avertissement  a été infligé à son directeur général, alors que le journaliste est suspendu d’exercice de la profession pour un mois. Enfin, concernant l’hebdomadaire « Kalara » et son directeur de publication, Christophe Bobiokono, le conseil a jugé nécessaire « de poursuivre ses investigations sur ce cas et a décidé de reporter sa délibération ».

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