Après sa libération à la police judiciaire de Douala, Serges Branco fait une sortie sur sa page Facebook, jeudi 13 avril. Dans sa communication, l'ancien manager général de Bamboutos de Mbouda remercie toutes les personnes, qui l'ont soutenu durant sa détention, ainsi que le Président du conseil d'administration du club, qui a retiré la plainte déposée contre lui.

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"Je viens ici remercier les supporters de Bamboutos du Cameroun et de la diaspora pour leurs aides réelles et concrètes: Essama l'activiste avec sa moto qui m'a assisté... L'association des journaliste sportifs du Cameroun (AJSC). Le syndicat national des footballeurs camerounais (Synafoc). Les policiers de la police judiciaire, qui ont été formidables (PJ). Ma famille qui s'est déplacée de l'Europe. Aux élites du département de Bamboutos et aussi le Pca de Bamboutos FC de Mbouda (Justin Tagouh), qui a retiré sa plainte",lance Branco  sur son mur facebook.

Le joueur qui ne s'arrête pas aux remerciement affirme, que sa garde à vue l'a rapproché de Justin Tagouh, dont il remettait en cause, il y a à peine quelques heures les capacités managériales et la probité morale:"Cette arrestation nous a permis, le Pca et moi de nous rapprocher. Car on a compris que notre conflit, depuis le début est basé sur de fausses informations de son entourage", se défend Branco qui ajoute:

"depuis qu'll (Justin Tagouh) avait fait le choix de me faire venir et confier la gestion de Bamboutos FC, comme manager général en novembre dernier... mes idées de moderniser et professionnaliser la gestion de Bamboutos, pour l'amener au sommet du football camerounais restent les mêmes et je ne rechignerais devant aucun obstacle pour y arriver, qu'elle qu'en soit le lieu ou le moment. Car  sans professionnalaisme et discipline, on n'arrive pas au sommet, mais tout ça dans un climat apaisé et dans le respect des statuts de Bamboutos FC de Mbouda."

Branco dont la sortie crée une confusion dans les esprits débute sa communication en rappelant le nombre de jours dont il a été privé de liberté et soutient que les raisons et accusations l'ayant conduites dans les locaux de la police judiciaire sont sans fondement: "Après avoir été privé trois jours de ma liberté, dans les locaux de la PJ de Bonandjo pour des raisons et accusations sans fondement et pas prouver". En dépit de ceci, monsieur Namekong remercie monsieur Tagouh, auteur de la plainte et exprime sa joie du rapprochement, que sa détention aurait favorisé entre ce dernier et lui. De quoi s'interroger, si le champion olympique 2000 est aussi clair dans cette affaire tel qu'il le claironne?

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