Femmes. 7 erreurs qu’on a toutes faites avec notre fond de teint

Marie Talvat | ELLE Vendredi le 24 Mars 2017 Culture Imprimer Envoyer cet article à Nous suivre sur facebook Nous suivre sur twitter Revoir un Programme TV Grille des Programmes TV Où Vendre Où Danser Où Dormir au Cameroun
Unifiant, illuminant, matifiant… Le fond de teint peut faire des miracles. À condition d’éviter ces quelques erreurs.

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1) Opter pour la mauvaise teinte

Avouons-le : même si on fuit comme la peste l’effet « visage orange », on s’est toutes trompées au moins une fois sur la couleur de notre fond de teint. Un flacon acheté à la va-vite, un produit qui s’oxyde dans la journée… Le make-up faux pas est si vite arrivé !

Pour être sûre de ne plus jamais ressembler à un oompa loompa (ou à un fantôme),  il faut évaluer deux points : le ton et le sous-ton. Ni trop clair ni trop foncé, le ton doit correspondre exactement à votre carnation. Testez-le sur l’os maxillaire – jamais sur la main. Le sous-ton est tout aussi important. Rose, jaune ou neutre : choisissez celui qui se fondra à votre peau.

2) Oublier de le fondre dans le cou

C’est une erreur classique, que l’on retrouve jusque sur les tapis rouges : concentrée sur le maquillage de notre visage, on arrête le travail au bord de la mâchoire. Résultat ? Un joli minois de poupée… qui semble posé sur un corps qui ne lui appartient pas.

Prenons du recul : selon les zones, la couleur de notre peau n’est pas toujours uniforme. Parce qu’il prend très peu le soleil, le cou est généralement plus clair que le visage et le décolleté. Alors pour harmoniser le tout, on n’oublie pas de fondre le fond de teint jusque dans le cou.

3) Vouloir tout camoufler avec

Pour peu que l’on ait quelques boutons ou taches pigmentaires, on est souvent tentée d’appliquer une épaisse couche de fond de teint couvrant pour espérer tout camoufler d’un coup. Malheureusement, on se retrouve plutôt avec un teint plâtré, et des imperfections qui – en plus – restent visibles malgré tout.

Le bon réflexe ? Appliquer une petite quantité de fond de teint en couche fine pour unifier le teint, puis venir camoufler les imperfections localisées à l’aide d’un correcteur (plus pigmenté, donc plus couvrant). Moins de matière pour un meilleur résultat.

4) En choisir un qui n’est pas adapté à notre type de peau

Cette bb-crème riche au fini glowy nous faisait de l’œil, on n’a pas pu résister… On avait simplement oublié que notre peau a une fâcheuse tendance à briller à la mi-journée. Catastrophe !

En matière de maquillage, il faut parfois faire davantage confiance à notre peau qu’à nos caprices. Le bon fond de teint est peut-être simplement celui dans lequel on se sent bien. Peau sèche ou mature : exit les fonds de teint mats ou en poudre, au risque de les voir marquer rides et zones de sécheresse, et d’avoir la peau qui tiraille dans la journée. Pour les peaux grasses, on préfèrera les formulations oil-free et longue tenue.

5) Inviter les bactéries par mégarde

Qui n’a jamais « oublié » de nettoyer ses pinceaux de maquillage par paresse, ou réappliqué du fond de teint dans la journée sans penser à se laver les mains au préalable ? Aïe ! Cette erreur-ci est plus traître que les autres, parce que ses conséquences ne se voient pas … tout de suite. À long terme, les bactéries et poussières risquent fort de causer de vilains boutons, et des irritations de la peau. De mauvaises habitudes à perdre de toute urgence !

6) Porter le même toute l’année

En théorie, rien ne vous empêche de porter le même fond de teint s’il vous convient aussi bien en hiver qu’en été. Mais pour la plupart d’entre nous, la peau change avec les saisons. Alors on s’adapte.

Selon si l’on est bronzée ou non, on pourra être amenée à changer de teinte. Et pour choisir notre fond de teint du moment, on tient aussi compte de l’état de notre peau. L’hiver, qui vient avec son lot de sécheresse et de déshydratation, est aux formulations cocooning. Bb-crèmes, baumes à la texture confortable… En été, on favorise les fonds de teint seconde peau et longue tenue. Et surtout, on augmente l’indice de protection.

7) Dormir avec…

Cela nous est toutes arrivé : rentrée d’une soirée tard dans la nuit, épuisée, on zappe l’étape du démaquillage. Attention ! Bien sûr, le ciel ne nous tombera pas sur la tête si l’on cède exceptionnellement à la paresse. Mais quand cela devient une habitude, le moins qu’on puisse dire est que notre peau n’apprécie pas. Boutons, plaques de sécheresse, dermatites, vieillissement prématuré… La liste des effets collatéraux de la flemme est longue. Pour éviter tous ces désagréments, pas de formule magique :   tous les soirs est non-négociable.

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